Photographie

En 1839 François Arago a présenté dans l'Académie des Sciences de Paris la première photographie connue comme daguerrotipo, réalisée grâce à une nouvelle technicienne que reproduisait un fragment de réalité avec telle fidélité à celle-ci que semblait qu'il vidait n'importe quel doute sur son objectivité et véracité. 

En 1839 François Arago a présenté dans l'Académie des Sciences de Paris la première photographie connue comme daguerrotipo, réalisée grâce à une nouvelle technicienne que reproduisait un fragment de réalité avec telle fidélité à celle-ci que semblait qu'il vidait n'importe quel doute sur son objectivité et véracité.  Tout au long de ces deux centaines d'ans, la photographie s'est allée en transformant depuis un objet matériel, comme le daguerrotipo, une image fixée sur un fer à repasser métallique, jusqu'à être une image virtuelle qui se visualise à travers des nombreux écrans, ces photographies sont dépouillées de toute nature chimique, ainsi donc, aujourd'hui la plupart des photographies peuvent être en origine quelque chose inmaterial.

La ligne du temps de la photographie est jalonada de bornes que par sa technicienne ou par son format sont soutenu objet d'étude par les spécialistes. Qu'est-ce que il poussait à des tellement changements? Quelque chose simple et ambitieux à la fois, d'une part, améliorer la qualité et stabilité de l'image finale et, par autrui, trouver un système qu'il permît obtenir plus de copies et ainsi baisser le prix des coûts de production puisque jusqu'à entonnes la photographie était quelque chose envisagé délicat et cher. Celui-ci est le premier réussite: des photographies uniques il s'arrive au système positif- négatif qui permet il multiplier tellement fois une photographie comme fût la qualité du matériel du négatif. De cette manière, le daguerrotipo laisse pas aux positifs en papier au sel et ceux-ci aux positifs en papier albúmina et, ceux-ci à son tour , aux positifs en papier gelatina. Par le général ne s'abandonne pas une technicienne pour embrasser une autre plus nouvelle, ils vivent ensemble dans le temps, celle-ci sera une soutenue dans l'histoire des procès photographiques.

Dans les ensembles de photographies qu'il a réuni et il continue à accroître la BNE sont représentées presque la totalité des techniciennes et applications photographiques utilisées par des photographes professionnels et des supporters depuis les accueils de la photographie jusqu'à des fins du siècle XX.

La BNE est, sans doute, une institution de référence pour l'étude de la photographie et des photographes qu'ils ont travaillé en Espagne pendant le siècle XIX (Charles Clifford, J. Laurent, J. Martínez Sánchez, etc.), il aussi conserve quelques pièces envisagées tu oeuvres des maîtresses de la photographie internationale, et puis héberge la production de quelques importantes études photographiques espagnols (Calvache, Kâulak, Gyenes, Ibáñez, etc). Donc, la BNE se peut envisager indispensable pour répondre à foule de questions sur des aspects visuels de diverses branches de la connaissance.

Avec plus de deux millions et moyen de pièces photographiques, la BNE est en des conditions de répondre à beaucoup de de les questions posées sur l'histoire de la photographie et sur le besoin de trouver images concrètes sur des divers thèmes, personnages, vues etc.

Toute l'information sur des thèmes représentés, formation de la collection et pièces soulignées, dans l'histoire du fond.

Subcolecciones

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Fotografía de los hermanos Díaz
Photographie de cirque

Par s'agir de portraits photographiques, par la variété de procès photographiques qu'il comprend et par ne disperser des collections thématiques, la BNE a acquis deux collections d'artistes de cirque et variétés.